« On devient cinéaste quand on croise son propre regard avec le regard des autres. » Théo Angelopoulos.
Le regard de l’autre est si fondamental dans nos existences : attendri, menaçant, bienveillant, indifférent, désirant…Quelle image donnons-nous de nous-mêmes aux autres ? Ce moi iconique nous suffit-il ? Si « tout regard est un désir » pour Musset, à quel manque nous renvoie-t-il ? Comment faire croître ces liens aux autres que nos regards créent ? Quand devient-il impudique ? Quelles en sont les limites, les excès et les promesses ?
Animé par Valérie Dufayet
Salle des rencontres