Parfois, quand on a février dans la tête [la pluie, le gris, le froid, morose, longuet, brouillard, tout ça], c’est comme si on ne pouvait plus parler qu’avec intensité, en extrême : passion ou colère, il n’y a plus de nuance. Mais quand le brouillard se lève, on se rappelle soudain qu’on peut poser des limites et rester dans le respect de l’autre. On peut exprimer un désaccord sans nier un point de vue divergent. On peut être soi, et personne d’autre ne peut être nous.
Il n’y a pas d’âge pour apprendre à s’écouter et oser s’entendre.
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