Début des années 1930, Marie Hammer embarque dans sa première expédition sur les terres islandaises pour étudier la faune des sols. Entomologiste, elle se spécialise très vite dans l'étude des acariens et se fait peu à peu une place dans un milieu scientifique très masculin. Ses études menées lors des ses voyages, d'un bout à l'autre du monde, lui permettront d'attester la thèse de la dérive des continents. Un portrait tout en nuances d'une femme passionnée par le Vivant.