Parfois, février dans la tête, le monde semble accablant, et on se sent seul à essayer d’espérer. Mais ce que nous rappelle Guillaume Sabin, c’est que même si dévier est un choix personnel et individuel au moment où il se fait, il induit une déviation, une nouvelle voie, semée de carrefours et de parallèles fréquentés eux aussi. Ce petit saut personnel vers une économie de l’émancipation, une vie en marge du capitalisme et de la surconsommation, mène à une nouvelle écologie des relations. C’est un chemin d’apprentissages pratiques, de rencontres humaines, de solidarités. Une voie vers ensemble.
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