Jeudi 29 juin de 15h à 17h.
Beyrouth, le 4 août 2020 à 18h07. Une déflagration apocalyptique souffle la capitale libanaise. Elle serait due à un incendie survenu dans le hangar #12 du port qui entreposait officieusement du nitrate d’ammonium depuis des années. Le bilan s’élève à plus de 220 morts et près de 7000 blessés, dont l’auteure fait partie. Ce livre est un témoignage de vie qui relate l’horreur de ce que vivent toujours les Libanais et lève le voile sur le « lent génocide » des habitants du pays du Cèdre – qui connait une des pires crises économique, politique et sanitaire jamais vues depuis 1850 – pris en otages par leur gouvernement depuis de longs mois.
Ce livre, c’est aussi l’histoire pleine d’espoir d’une jeune femme qui survivra au drame et qui découvrira un éclat de vie parmi les éclats de verre qui parsèment son présent.
De mère française d’origine vietnamo-allemande et de père libanais, Caroline Torbey est une auteure résidant à Beyrouth.
Elle est lauréate du « Trophée des Français de l’Étranger » édition 2018 ainsi que du « Concours de la nouvelle Georges Sand » en 2020 pour ses écrits.
Elle est sélectionnée en 2021 par la célèbre « Fondation Jan Michalski pour l’Écriture et la Littérature » qui soutient la publication de son utopie intitulée « Si j’avais un Cèdre ».
Elle a co-écrit plusieurs ouvrages et publie régulièrement dans la presse francophone de son pays.
Son engagement porte sur l’expansion de la francophonie ainsi que la place de la femme au sein de la société libanaise.